Ces jours-ci une panique tacite préoccupe les sentiments présents et futurs de chacun de nous. L’attention mondiale est plus que jamais fixée sur un ensemble de catastrophes qui semblent ravager d’un même coup ce monde qui n’est qu’en début d’année. Dit-on, le séisme presque maximale du Chili a changé l’axe temporel de notre planète. Nous perdons désormais du temps, ce qui nous est crucial quand on pense que plusieurs arguments déclament une fin proche.
Récemment, un glissement de terrain en Ouganda provoque la mort de cent hommes et de 400 disparus. Quelques jours avant une tempête faisait l’essor des instruments inutiles et des maisons non ancrés. La secousse du chili qui a suivi la boucherie d’Haïti fait peur, nous sommes à l’intérieur d’un film d’épouvante dont les dégâts ne sont provoqués ni par des dieux ni par des hommes. Cette nature qui au 21eme siècle remplace les totalitarismes concomitants du siècle dernier.
La fin enfin ne s’annonce pas par des catastrophes nucléaires. En s’alliant aux arguments spirituels et aux prévisions avant la lettre des mayas certains scientifiques s’appuient sur des faits atomiques, pour nous prévenir que par des alignements et des astéroïdes non à leurs places que dans deux ans ou seize ans plus tard nous pourrions disparaitre comme des poulets sur un barbecue. Qu’y faire ?
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