Le port de la burqa ou non est aujourd’hui l’opportunité d’ouvrir une sorte de débat, de s’entretenir sur le sort même des religions. Ces derniers temps, les islamistes par exemples sont victimes d’attaques excessives qui justifieraient selon eux le retour de leur peur au monde. Les pays dits développés profitent de leur minorité immigrante pour les faire subir des sorts contre-nature. Les suisses ont récemment interdit le minaret en le comparant dans les affiches de campagnes a une missile. Depuis le 11 septembre ils font face aux États-Unis à des reproches à fleur de peau.
Les cas deviennent plus étranges quand au 21e siècle, des émeutes religieuses tiennent de boucherie générale récemment à Jos, Nigeria. Les organisations radicales se sont faites silencieuses a ces sujets, ce qui renverse la chair sur la peau encore plus. Les arguments tenus envers cette religion reposent sur la laïcité de l’état mais la burqa n’est qu’un signe comme tants d’autres inscrits dans leur façon de voir le monde, l’enlever serait affirmer que cet ordre n’existe pas. Que deviendrait un état ou la défense d’idées spirituelles ne serait plus acceptée, un état vide. La liberté de culte est pour ces pays la chance de montrer a leurs minorités qu’ils sont avec eux, qu’immigrant ne veut pas dire exclu.
Les arguments se sont aussi penchés sur le fait que la burqa n’est pas sécure, les femmes ont porté des voiles de toutes sortes depuis l’antiquité. Donc l’interdire ce serait être contre la cause des femmes comme dit le député qui a décidé de braver cette loi en se posant candidate à la chambre législative. Les lois doivent sortir de la réflexion et non des nerfs. Interdire la burqa serait provoquer les parures des autres religions. Dans le monde qui suit, il n’y aura pas de temps pour les affronts religieux.
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