vendredi 1 octobre 2010

Al Qaida ou le nouveau Vatican?

La tour la plus haute du monde s’est effondrée le 11 septembre 2001 pour marquer peut-être la colère de Dieu contre la vanité des hommes à vouloir atteindre le ciel. A part que cet événement a effectivement fait place à une gigantesque hécatombe, ce n’est qu’une égratignure pour le seul pole de la planète que tous les autres pays ont ressentis parce qu’ils sont désormais liés à la culture américaine.

Le dilemme est symbolique, le christianisme et le bouddhisme ont déjà conclue le pacte de paix avec l’ultralibéralisme, la troisième plus grande religion du monde ne saurait le tolérer. Ainsi couche dans le Moyen-Orient le danger le plus acéré contre l’acceptation de la domination américaine, la seule option pour contrer les élans démocratiques et profitable des états unis d’Amérique.

L’islamisme est une culture solide dont l’expansion des atomes se déroule assez bien même sur les continents dits évolués. Nicolas Sarkozy essaie d’empêcher au nouveau empire du mal de prendre les rennes de la France et à sa troisième année de mandat sa république est sous menace majeure. Quand on pense que les kamikazes ont étincelés à Madrid et à Londres, la Tour Eiffel serait le faite de leur gloire.

Car Al Qaida est une nouvelle forme de puissance religieuse pas plus meurtrière que le Vatican à l’époque de l’insurrection mais qui reste plus faible puisqu’elle n’a non seulement pas d’Etat mais aussi Les USA en position de force mondiale et nucléaire essaient d’étouffer dans l’œuf l’étatisation Iranienne du terrorisme international.

L’empire du mal manque de force parce qu’il est aujourd’hui disloqué. Si les défenseurs de l’idéologie s’alliaient à l’adversaire le plus capable sur le plan militaire qu’est la Chine, une fumeuse guerre aurait lieu. Cependant les chinois jouent de la politique au nom de l’Etat laïque dans lequel cinquante pourcent de la population est athée, ils n’attaqueraient pas l’Amérique au nom de l’islam. L’alliance est seulement possible si les requins deviennent véritablement nuisible sur l’échiquier des territoires.

Le président noir américain semble apaiser toute hystérie en priorisant la guerre des dialogues à celle des corps. Si bien qu’Al Qaida et ses alliés du Proche-Orient sont entrés dans une résistance face à la mondialisation notamment grâce à son commerce de l’opium. La religion dit Marx est l’opium des peuples. Obama butte à gagner en Afghanistan pendant que les têtes de l’hydre naissent sur d’autres territoires.

L’expansionnisme de la culture américaine était par nostalgie presqu’en guerre contre l’islam.

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