lundi 12 juillet 2010

Crise de leadership

Nicolas Sarkozy ouvre aujourd’hui les bras de l’hexagone et les tend vers le monde pour bientôt l’envelopper peut-être. Comme c’était le cas lors des périodes esclavagistes et colonialistes, lorsque le profit était à son apogée. Le système libéral dominant actuel demande d’être géopolitiquement plus astucieux, de faire monter l’aguille du fuel fourni par la misère des pays du tiers-monde en faussant à la face des médias un tas de papiers prouvant dans le faux la présence d’une arme défensive en Irak.

Bush a ainsi satisfait les besoins des lobbyistes et assassiné Sadam Hussein dans le visible d’un téléphone portable. Des fois cela coute chère comme au Koweït. Barack Obama décide de bleuir la température en construisant des forages sur les cotes de son propre pays pour qu’enfin les Etats-Unis n’aillent pas dépasser l’injustice exogène. Entretemps l’or noir envahit les cotes sans effort et risque de dérouter le roman de la maison blanche d’où naitront plus tard les poètes de la Louisiane, ce qui ont vécu la marée et Katrina.

Le président français voit un monde, une Europe plus uni capable de faire face au travail et aux entrainements dans des défis internationaux. Elle a échoué dans une crise politique sportive qui traduit le mal d’un pays s’autocritiquant dans la non-compréhension d’un président assez libre d’esprit. Ils regrettent les années de sureté chiraquienne et n’adoptent pas encore le style chaotique de leur nouveau chef.

L’opposition n’a pas assez d’armes pour combattre ils comptent consulter les cheveux gris du FMI. Qui sera le prochain président d’un pays où aucun des leaders n’a plus de 50% de confiance ? Pour faire preuve de leadership Sarkozy compte malgré les obstacles mis en avant par les médias faire passer Eric Woerth et la reforme des retraites. Affaire de pousser un peu plus au travail ceux qui ont l’âge de Dominique Strauss Kahn.

Il semblerait que les medias ne réussiront pas à rendre hystérique le président de la métropole française et se tiendra debout malgré les quelques dossiers sales de son ministre, in contrario de Barack Obama qui a du changé sa tète de camp des soldats mondiaux en Afghanistan sous l’impulsion d’un magazine. René Garcia Préval devient sarkozyste par rapport au CEP.

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