samedi 3 juillet 2010

le transsexualisme, à qui de droit?

Nous avons le devoir de ne pas oublier, en ces temps de gloire footballistique le courage d’une prostituée brésilienne pas comme les autres qui a conduit sans lacet l’une des plus grandes étoiles de cette terre dans une chambre de Motel. Nous avons connu la suite. Il/elle s’est identifié(e) sans peur à la presse et provoqué la retraite précipitée de Ronaldo. Nous avons assisté au pouvoir d’une transsexuelle !

Esthétiquement, cet épisode de l’histoire sportive est révolutionnaire car elle a su surpassé le choix d’un riche joueur capable de se procurer les plus belles sculptures à volonté dans un pays connu à travers le marketing avec ses femmes sur les plages pleines de courbes bien mesurées rappelant pour ceux qui l’ont déjà connu, le paradis. L’attaquant du Real Madrid a été choqué par la capacité du nouveau genre à dominer le vingt et unième siècle. De découvrir qu’en deçà de ses attributs sexuels plus attirants que ceux d’une femme se trouve un phallus bien érigé.

Il y a quarante ans que le premier changement de sexe s’est effectué de manière chirurgicale. La femme est encore vivante. Etonnant que dans son propre pays la législation ne se soit pas encore ouverte, nous ne répéterons pas au troisième sexe. Certaines sont elles-mêmes devenues des étoiles trop brillantes, citons les cas : Coccinelle et Marie France cantatrices hors paires, la jeune Kim Petras chanteuse originale de pop amassant sa réputation à partir des villes de l’ex pays des nazis, à voir sur You Tube. On entend parler de quelques sénatrices sans utérus. Et d’autres barricadées dans l’anonymat.

Les médias utilisent le transsexualisme pour dénigrer certains chanteurs, On a eu l’exemple pour Lady Gaga, Ciara et certains athlètes et quand ils le sont vraiment… Les médias ne sont que le reflet de la volonté de la majorité. La transidentité est une maladie mentale acquise à la naissance. Leur véritable maladie est de se trouver dans un corps qui ne répond pas à leurs sentiments intérieurs.

Tout un pays se dresse contre un homme voulant s’opérer de façon trop originale. Parce qu’ils et elles refusent les lois de l’alma mater, des préceptes bibliques considérant qu’une femme doit rester une femme parce qu’autrement elle ne rentre pas dans leur conception du monde. Une civilisation qui dure n’étouffe aucun de ses membres. C’est ainsi que la société indienne a précédé les défis du vingt et unième siècle en donnant une place aux hijras, il est de même au Japon, dans certains pays d’Afrique et régions d’Amérique latine. Les cowboys du Far West craignaient ces femmes avec des pouvoirs d’hommes que les peaux rouges ont élu chaman.

Dans les dialogues du banquet, Platon les a décrit comme êtres étant entre la lune et la terre à la source de l’homme mais ne trouvant pas encore leur place dans la société contemporaine. La mondialisation permet l’unification de ces mis à part qui mèneront le nouveau combat de reconnaissance identitaire.

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