lundi 8 février 2010

la panne d'accélérateur du Japon




Que dirions-nous du miracle du Dieu créateur de l’archipel nippon dont les pieds aujourd’hui s’entremêlent. La maculation dépressive japonaise peut servir de marque d’alarme à l’élévation des entreprises chinoises qui heureusement ne se sont pas construit sur les mêmes réflexes économiques. Les neurones boursiers du japon se sont trop penchés sur l’espoir américain malgré les failles et les catastrophes économiques dont cette servilité est sujette. Bondir de loin jusqu'à la deuxième place du monde peut être selon les lois de Newton d’une rechute gravitationnelle non sanitaire pour leur économie.


Les erreurs de spéculations des grandes familles japonaises tombent sur le bout du nez. Apres l’inaptitude de Japan Airlines à rembourser ses dettes et à contrecarrer sa faillite. Une autre menace se pointe qui s’annonce très acéré : Toyota est l’un des maitres de l’essor faramineux de ce pays dont l’exportation automobile représente une bonne part du capital. La situation n’est pas si alarmiste, le Japon possède d’autres mégastructures économiques pour ne pas s’effondrer à l’égal d’un château de carte. Le secteur automobile en lui-même a de bonne pièces de rechanges, la technologie robotique étant la face sur laquelle les dés du soleil sont joues en est une bonne, a mettre avec leur fougue verte le japon se montre prêt à affronter l’avenir malgré les annonces percutantes.


La dérive d’un morceau de plastique frappe mal à une heure ou son pays baigne dans une crise lié à la dépendance exagéré envers ceux qui les ont permis d’être. On est loin du temps ou l’on pouvait profiter des grandes guerres pour s’enrichir, de nouveaux défis s’ouvrent. A cote, la lointaine muraille ne laisse rien passer, ne dépend que du monde et est remonté a la manière des fusées du siècle pour disparaitre dans les champs invisibles en laissant la planète a distance imprévisible mais gare…

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