lundi 1 mars 2010

Bilan : vancouver 2010



Cet hiver influencé par des changements climatiques subtils a donné place à quelques lieus sur Vancouver à une atmosphère prête à accueillir plutôt les jeux olympiques d’été. Mais la glace n’a pas fondu, loin de la. Les responsables de ces jeux olympiques qui s’étaient promis de faire preuve de neiges vertes, ont a cause justement de ce dérèglement été forcés d’importer de la neige synthétisée. Cela montre tacitement que bientôt les indiens et les ours polaire ne trouveront plus de glace pour s’épanouir, mais on a eu droit à un spectacle plein d’étincelles.


Des cérémonies d’ouvertures et de clôtures très intimes aidés par les cris des indiens qui contraste avec la mégalomanie de Pékin qui nous manque quand même. Le Canada, pays développé en ces jeux a signé le record du pays le plus médaillé en or d’hiver. Ils nous ont gratifiés d’un match de hockey haut d’adrénaline sportive, parfait. Les cris « hard » des joueuses de curling n’ont malheureusement pas été assez forts. D’autres nations ont prouvés que leur développement économique rime avec leur qualité musculaire, tel que l’inévitable Etats-Unis, le plus médaillé dans tous les jeux. Nous avons aussi vu des haros respectant la grande tradition des olympiens comme un Simon Amman qui se dit petit comme sa médaille mais qui s’était mis dans toutes les dispositions mentales pour faire des sauts inoubliables. N’oublions pas quand même que le saut à ski féminin a été injustement interdit.

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