mercredi 6 janvier 2010

les bulgares




Le dilemme du progrès spirituel doit être posé. Ne pas accepter que l’homosexualité est un besoin psychologique d’alliance humaine autant que l’hétérosexualisme revient a négliger en plus de nos différences quantiques séculaires, le désir d’autrui. Nous, les majorités planétaires attirées vers le sexe opposé avons le regard enchainé sur notre égoïsme. Même les plaisirs sensuels devraient être donc partagés entre ceux qui détiennent le pouvoir de décider. Cela nous rappelle silencieusement certains autres abus concernant le courage de la majorité à contrecarrer les autres qui jouissent de leur décision propre.


Les LGBT peuvent aujourd’hui s’unir avec les victimes, qui le sont simplement parce qu’ils n’ont pas la force de gagner tels que les juifs, les femmes, les immigrés. Cette constante loi de la jungle contraste vivement avec les progrès de l’urbanisme dans lequel nous nous unissons tous pour bâtir avec une vue d’ensemble des villes au-delà de nous-mêmes. Ce manque d’intégration des autres pulsions sexuels est marqué par la création de villes uniquement attirés vers le même sexe, de villes stériles. Que voulons-nous donc, hétérosexuels, qu’ils aillent bâtir une planète propre à eux ?


Le baiser ci-dessus entre homosexuels victorieux symbolise les victoires récentes, progressives des homosexuels dans l’architecture des lois dans divers pays. Une victoire qui ne sera pas sur nous mais avec nous dans le collimateur d’une égalité mondial au moins du cote du sexe. En vue de contredire notre essence égoïste qui a marqué le passé de nombreux chrétiens qui ont brulé vifs ceux qu’ils ont osé appeler « les bulgares ».

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