samedi 10 avril 2010

START, entre sel et sucre

D'un accord de réduction des armes nucléaires il est à faire entre les grandes puissances. Barack Obama veut montrer à l’universel qu’il vaut son prix Nobel et qu’il luttera coute que coute envers ses promesses les plus farfelues. La Russie veut aussi mettre la main a la patte du model idéaliste du président noir pour faire partie du mouvement des pays qui enfin redorent leur image à la face d’une population mondiale éclairée cinématographiquement sur la cuisine de ces gouvernements qui dirigent le monde par jeu de qui sera le moins transparent. Et encore, cet accord n’est qu’un leurre.

Au moment même, ou Medvedev et Obama se réunissent pour signer cet accord à Prague, un coup d’état énigmatique s’effectue au Kirghizstan. START, ne date pas d’aujourd’hui, nous sommes même à la quatrième version d’un pacte qui a commencé avec le SALT. Mais aucun d’eux n’a donné de résultats, tous ont été abandonnés. Le fait que les premières signatures étaient faites par Georges W. Bush fait espérer qu’avec le changement d’aigle, il y aura peut-être une réduction d’armes nucléaires.

Mais, comment baisser notre défense quand l’Iran et l’Israël menacent de déployer Hiroshima ? S’il est vrai que l’Amérique a décidé de ne plus installer de nouvelles machines anti-missiles contre une offensive probable de la Russie, et aussi vrai que l’afro-américain exposera des destructions d’armes à hydrogène en mer et sur terre. La dynamique des missiles extra-atmosphériques n’a pas encore été définie.

L’administration Obama va nous surprendre avec le vote positif des républicains sur ce dossier car ils ont de nouvelles astuces très fonctionnelles.

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