mardi 7 septembre 2010

L'enfant de Sable

Reste t-il un peu de poussière pour consolider l’homme incompréhensible. L’œuvre de Tahar Ben Jelloun veut écrouler les châteaux de sable à travers une tache dans laquelle peu osent s’exécuter. Ses œuvres sont les premiers pas d’une littérature vingt-et-unième siècle. Sans manifeste littéraire, il faudra que l’individualisme des scribes actuels changent de discours
.
La séparation entre pays du sud et pays du nord est finie. La recherche de sujets ne peut continuer aujourd’hui dans des revendications inabouties. L’intime moderne doit être traité de façon à ne pas représenter une voix ou une camera déjà connue, à faire des livres un refuge pour des opinions qu’on a peur d’avoué. Elle doit non seulement être anti-marketing, antipopuliste mais aussi l’écrivain redevenir citoyen.

L’Homme Tahar Ben Jelloun s’impose dans ses idées et fait de la romance en exposant au lecteur non des opinions mais des certitudes. La situation d’une fille née dans un monde musulman qu’on a transformé en homme car le monde ne s’est pas encore faite conscience qu’il a dans ses intestins des femmes devenues hommes ou mariées à des femmes qui étouffent.

Comme l’a dit Tahar Ben Jelloun : « Il ne s’agit pas de tolérer l’homosexualisme ! »

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