dimanche 4 avril 2010

Corruption, encore plus!

Après une telle conférence sur l’avenir d’Haïti, ce n’est pas une surprise qu’on nous ait promis prés de cinq milliards de dollars pour la reconstruction haïtienne. Une surprise pour le gouvernement haïtien qui ne s’attendait visiblement pas à une telle tendresse de la communauté internationale. Tendresse hypothétique, car sur l’aide d’urgence apportée après le séisme il n’est pas utile de préciser comment s’est distribué cet argent. Dépensé principalement a travers les soldats et les déplacements humains l’aide en général, plus prioritairement l’aide alimentaire a été vendu en grand nombre a travers une pluralité de nouveaux marchés noirs.

Après écoute de M.Bellerive à travers Radio Métropole, on peut s’assurer que l’état ne contrôle pas concrètement le terrain et que les ONG, les institutions étrangères se conduisent de façon parallèle sur notre terrain. Ce n’est pas tout, près de trois mois après le cataclysme l’Etat est encore paralysé. Les même plaintes construisent nos jours de puis le 12 janvier, sous les tentes les requêtes ne se font plus vraiment pour de la nourriture mais pour des logements fixes et surtout de l’emploie. L’emploie pris en compte par notre émissaire spéciale de L’Onu croyant dur comme rêve que dans quelques temps il fera d’Haïti sur toute sa superficie un espace de communication sans fil comme un coin de Manhattan, ce qui aidera bien sur a un développement exponentiel.

L’histoire se répète, après Gonaïves, nous avons un Port-au-Prince secoué jusqu’aux os. Et si nous pensons aux résultats du passé… Port-au-Prince dans les mois qui suivent devraient plutôt être sujet à une infinité d’équipes cellulaires agissant dans leurs espaces pour reconstruire les possibilités de travails en vue de relancer la pêche, l’agriculture, du travail pour des ouvriers de bâtiments financés plutôt par l’aide que par le privé, des ouvriers qui exploitent le pétrole, l’or, l’iridium au nom de l’état haïtien.

Avec tous ces chiffres qui entrent dans n’importe quel pays non émergeant chacun visionne sa part de profit. Nous sommes habitués à ces structures qui font disparaitre l’argent de façon très habile. Haïti est sous aide partielle internationale depuis des ans. La masse vit de la diaspora, mais c’est notre tête qui manque. Qu’arrivera-t-il cette fois ci ?

Les corrupteurs sont enfin entrés dans la misère commune. Cette aide est de l’espoir pour eux. Nous n’avons aucun organisme de surveillance, d’obligation de résultat qui refuserait sa part du gâteau. Que faire ?

Envisager le futur. Interrompre les politiques d’autrefois, élucubrer beaucoup plus sur la misère d’un tel que sur la position d’un autre. Envisager des solutions non-internationales. Ne pas accepter de voir des places inaccessibles pour plusieurs mois à venir, à l’échelle de notre quartier. Aider, ne pas profiter. Pour se débarrasser de notre situation parasite et dénouer cette situation de quiproquo théâtral en appuyant des hommes et femmes surs, pencher pour le nouveau. Avec courage !

samedi 3 avril 2010

Le terrorisme est en spirale

Après lecture de l’éditorial du monde nommé, Barbarie-répression la spirale caucasienne. Il est possible d’élucubrer sur une probable forme du terrorisme, mouvement actuellement le plus criminel à travers la terre composé d’une multitude de chefs fantômes, ce serait donc un mouvement anarchiste capable de battre avec beaucoup moins d’armes les supers puissances sur leur propre terrain. Le vingt et unième siècle a été ouvert avec l’attentat du 11 septembre, chaque année des attentats moins meurtriers se font sentir. Mais dire que le nombre de victime se compte plus chez les victimes du terrorisme est faut, la plus grande terreur est faite par ces grandes puissances qui ont pourtant ouvert le bal. Mais cela ne justifie pas non plus l’action barbare de ces peuples moins puissants revendiquant de façon violente le plus souvent un territoire.

Le concept de terrorisme n’est appliqué qu’à des pays revendicateurs à qui on refuse de céder la place. La guerre lancée entre l’aigle et l’islam est la plus suivie et la plus complexe, la capacité des Etats-Unis à se procurer des super-soldats ne dépasse pas la volonté de l’homme luttant pour sa nation. Ils se laissent tuer facilement en croyant aux vertus du djihad. Même si on refuse de le dire, l’islam est la plus grande arme de combat et l’outil principal du terroriste croyant dur comme fer atteindre le paradis en s’explosant. Mais le Proche-Orient n’est pas le pouvoir central, les équipes revendicatrices sont entièrement décentralisées si bien qu’on a beau décapiter chacun des mouvements, de nouvelles têtes poussent ailleurs et l’action continue.

La spirale est la forme parfaite du terrorisme qui choisit de vivre à l’ infini malgré les diverses courbes. Quelle solution contre ces criminels ? Surement pas les assassiner par vengeance coute que coute en retour la Russie aura plus de victimes, les États-Unis aussi, les emprisonner comme la France et l’Espagne n’octroie aucun résultat. Pour lutter contre le terrorisme international il faudrait une alliance allant plus loin que l’OTAN, pouvant de manière secrète repérer tous les coups avant l’heure d’Al Qaida, de l’ETA et des lubies de Dokou Oumarov pour que les continents ensembles puissent mettre leurs ressources humaines et technologiques en commun pour faire imploser les divers attentats avant l’heure.

jeudi 1 avril 2010

Entre my name is et profonds regrets

Le cinéma haïtien déçoit beaucoup d’entre nous, spectateurs de la première division cellulaire de l’un des arts les plus supportés du nouveau siècle. L’art haïtien est pourtant très bien maitrisé dans les autres domaines. Ce n’est donc qu’un art à l’état de bourgeon qui attend d’être une rose qui sera espérons le, polychrome. Une diversité qui doit quand même être contrôlée car si l’art est le seul milieu ou l’humain trouve une liberté complète, les limites du cinéma doivent s’inscrire dans une certaine valeur esthétique poussant les réalisateurs à faire voir du travail fini.

C’est sur cette ligne de mire que peut être fait l’analyse de profonds regrets et my name is. Deux films qui se ressemblent malgré toute la volonté des caméramans à vouloir faire de ces films de l’originalité haïtienne. Originalité beaucoup plus prononcé dans ce dernier film où la question du nom de famille est posée comme fondement d’identité sociale. Ce qui est vrai. L’actualité de ces films réside dans deux problèmes fondamentaux auxquels est confrontée leur mère patrie. Haïti est entre destruction et exil.

La destruction entamée par le tremblement de terre plonge l’individuel de ce pays dans l’exact situation de ce Carl-Henry qui est décrit à l’aide du prologue du film en étant un être sans famille, orphelin à quinze ans qui a vu des crimes absurdes se passés sans qu’il ait pu défendre un camp. Tout ce trouble psychologique a amener plus tard à un être violent incapable de canalyser son énergie mental qui a du être activer par plein de neurones après ces événements. Quand nous pensons à tous ces jeunes orphelins aujourd’hui, pourront-ils résister ? My name is dresse un portrait très lugubre de cette condition à l’Etzer Vilaire. Ce qui est un caractère repoussant du film mais qui entre malgré tout dans la norme artistique requise, nous avons vu plusieurs scènes sortis de pleins fouets de l’imagination de l’auteur. C’est ce qu’il manque à la réalité haïtienne, l’imaginaire qui déborde un peu.

D’où le caractère trop documentaire de profonds regrets, beaucoup plus proche du réel de la diaspora haïtienne mais qui n’a que dressé une trame et un constat sur un tissu d’homme auxquels nous sommes habitués. Ces déracinés dont le nombre augmente aujourd’hui de façon exponentielle avec ce désespoir profond qui a suivi le tremblement de terre et qui a fait fuir de nombreux compatriotes croyant encore plus à cette malédiction acquise depuis notre indépendance. Mais après l’exil il y a l’incapacité à s’installer dans l’autre civilisation qui n’accueil pas les blessés de façon hospitalière surtout dans le long terme. A l’autre face de la mer, il n’y a plus de désespoir mais une déchirure interne entre la nostalgie et l’amnésie volontaire, on est dépourvu de soi. Quel choix reste t-il ? Le film se termine sur une assez bonne touche.

L’extérieur attire plus que jamais des touristes forcés et l’intérieur est effectivement morbide. Certains ont survécu au désarroi du voyage, d’autres luttent encore. Port-au-Prince tient au fil du nom de famille grâce à sa diaspora qui la supporte même au chômage. Mais le chômage n’est pas que chez les non-émigrants. L’élite du pays cogne sa tête au vide, l’espoir est aujourd’hui sous les tentes.

mardi 30 mars 2010

Entre le sphinx en feu d'énigme et le testament des solitudes

Entre l’appréhension de la vie en spirale et un désespoir vidé de tout sentiment excessif se situe deux œuvres l’une à l’opposé de l’autre dans le style et dans le tempérament des auteurs. L’un est un démiurge vantard et honnête qui s’applique beaucoup plus à se compléter spirituellement à l’aide de la page qu’à partager une impression de la réalité avec le lecteur. L’autre est bien ancré dans le réel à la manière du torrent des écrivains haïtiens actuels.

Le testament des solitudes fait place à une écriture à la fois retenue et dépouille de sentiments, l’auteur ne fait qu’un constat imaginaire à la manière d’un Dany Laférrière mais s’enfonce encore plus dans une description du dedans résumé par la première phrase : les terres ont l’air sans borne ici. Tout donne ici une impression d’infini désertique, de savane qu’Emmelie Prophète refuse d’oublier. Une terre ou même la guerre ne veut rien dire où on est obligé d’être des vivants passifs. Une écriture quand même vidée de tout jugement ou engagement littéraire qui ne lui permettrait pas de passer sous les yeux qui n’ont souvent besoin que d’un constat objectif. Encore une histoire de femme comptées par trois générations qui sont le squelette sous la chair du pays, le féminisme ébauché par tant de livres et tant d’écrivains haïtiens tels que Emmelie Prophète, Yanick Lahens et Pierre Clitandre une histoire de souffrance inextricable au soi. Mais ces mêmes écrivains par peur de saleté et par envie extrême de maniaque pudeur nous fait perdre malgré tout, le gout de suif que nous a présenté la fameuse niña estrellita.

Voici pourquoi notre cher Franketienne traine autant dans la fange. Par esprit de révolte franche face à toute utilisation de gant pour modeler la littérature, elle doit être dite avec des mains non lavées in contrario d’un James Noel qu’il a lui-même introduit. La littérature est l’espace où tout se dit, ou l’on peut enfin discuter des gouts et des couleurs. Et Frankétienne parle d’un oiseau couleur de peur qui s’obstine à voler avec un sexe bien érigé pour un avenir fantasmagorique d’Haïti tout en s’interrogeant sur la base de la littérature en inventant des mots, une langue pour donner une identité nouvelle à d’autres pays ce qui donne à son écriture une étiquette éclectique capable d’être promu par l’Unesco en faveur de la paix des pays unis. Mais ce grimoire que le génie de Frankétienne fructifie est souvent trop abstrait et trop obscure pour le commun des mortels, il nous repousse.

Deux textes d’écrivains qui ont peut-être fini de découvrir leur manière d’écrire et qui écrivent du brouillon ou du soigné, qu’importe. Depuis que les mots fassent vivre des événements nouveaux.

mardi 23 mars 2010

le bruit des bottes



Au temps de la mort d'un des plus grands chanteurs de la cause gauche et de la défense de l’humanité, Jean Ferrat a encore matière à chanter. Le 21e siècle annonce des politiques nouvelles, entre les gouvernements qui s’acharnent dans les luttes mondiales et les puissances industrielles qui ont un rôle aujourd ‘hui explicite dans le schéma des jeux de dominations.

Le magistral plan de santé du président américain a été signé, la campagne surprise qu’il nous a fait connaître n’a donc pas été inutile. L’homme le plus puissant du monde selon le magasine Forbes, semble pouvoir dépasser ses successeurs même sur le plan politique. Lors de sa mainmise sur le plus grand pays du monde on prédisait un manque d’expérience de leader, on a même comparé sa première année à celle inactive du président Carter. Que dirons-nous encore ?

Et pourtant les gouvernements chinois, américains, russes et français avancent sur le terrain international. La perspective mondiale devient concrète, le président américain a maintenant la permission de redevenir un aigle, sous la pression orgueilleuse d’un Netanyahu et d’un Ahmadinejad, saura t-il mettre la paix au venin ?

Des questions interminables sans réponses. Tel que dans le film, Wall-E, les compagnies virtuels et privées tels que Google deviennent des états fantômes pouvant se disputer avec l’armée chinoise. Le 21e siècle sera le temps de la création d’arguments spirituels, d’astuces secrètes pour des résultats et des progrès vers le bonheur total des peuples.

dimanche 14 mars 2010

oh africa



La terre sera le rendez-vous des allumettes dans ce mondial qui sera chaire. Un voyage auquel les occidentaux ne se sont pas encore habitués, une coupe du monde au continent africain est si pleine de symboles que la presse et les philosophes négligent ce qui peut être l’article des valeurs du siècle, du succès du vingtième siècle en terme de relations mondiales anti-discriminations et tolérance de la révolte.


Aime Césaire aurait écrit qu’enfin ils valorisent notre peau. L’étranger sera ébloui devant ces pas de danses inventés par un temps qu’ils ne connaissent pas, la télévision qui utilise le continent africain comme dernier recours relaya en premier plan des activités sorcières, vaudouesques pour qu’enfin Afrique veuille dire monde.


Les portes sont ouvertes pour un nouveau siècle plus haut que les montagnes comme dit K’naan. L’Afrique du sud sera l’espace où les valeurs unificatrices d’un peuple noir seront prouvées. Qui puis-est, malgré quelques défauts remarqués par rapport à l’accueil aux handicapés, il sera le temps de montrer que ce continent à face d’homme peut vouloir dire olympique.


Il ne reste que les joueurs de la terre d’accueil qui doivent démontrer que leur patrie n’a rien de satanique, et qu’elle va au-delà des préjugés débiles des autres. Une Afrique championne ferait monter des larmes nubiles, une utopie accessible pour ceux qui croient en la magie des cuisses d’une négresse.

Il faut rentrer avec responsabilité de l’argent pour que notre rang avec la FIFA augmente et que le lettrisme d’Akon atteigne le succès déjà accompli de certains grands joueurs.

vendredi 12 mars 2010

le suicide de Glasgow



Cette semaine, un saut de quinze km est passé presque inaperçu. Un homme, sa femme et son enfant sont morts comme des animaux. Le motif de leur suicide est le point nodal d’une affaire lugubre et mystérieuse qui trouverait parfaitement sa place dans un récit d’Edgar Allan Poe. Cette affaire restera mystérieusement sans enquête. La raison est simple, Monsieur le russe Serekh est cru atteint de paranoïa, mais de quoi ?

Il semble qu’il se soit enfuit de Russie puis du Canada, il prétend être un espion russe qui a découvert le plan secret du Canada d’assassiner la reine d’Angleterre, cette histoire n’a de sens que dans un polar. Et pourtant on l’a surpris en conversation sérieuse avec un député de la grande Garabagne auquel il a confié des secrets les plus alléchants.

Mais la reine ne mourra pas. Le titre convient mieux à un polar qui succède dans une prophétie, celle du God save the queen des sex pistols, qui a bien du sens car il n’y a pas de suicides sans feu et que le Red Road peuplé d’immigrants est une bonne excuse pour un assassinat à l’intérieur duquel sont victimes une femme et un enfant pourtant pas impliquées dans l’affaire qui ont eu le courage de concrétiser une action pareille soi-disant à cause d’anxiété sociale.

mercredi 10 mars 2010

visite des chefs d'états



Certains sont passés sous silence, d'autres sont venus faire campagne sur cette terre vierge en prononçant comme parure la somme d'aide humanitaire qu'ils proposent qui se dit à chaque fois l'une des meilleurs et quelques temps après des milliers d'hélicoptères et d'avions enveloppent le nouveau monde en passant par un aéroport americain.

Aide qui ne saurait etre géré par un gouvernement qui ces jours-ci pourtant présente des discours très persuadants. Encore ce jeu de séduction qui restera voiler à la face du monde pour qu'une autre guerre silencieuse de mâles voulant occuper la perle n'ait pas lieu. Ils sont tous passés en proposant une réussite future pour un pays deshabillé, la richesse des neuf autres continents doit etre conservé jusqu'a quand? Des centaines de places publics sont menus de tentes, d'autres non. Nous attendons le temps des habitations fixes.

Nous avons absolument besoin de la visite de tous les grands chefs d'états qui nous aident à la reconstruction sinon nous sommes désesperemment seuls, l'honorable president préval tient une réunion privé avec le président de l'autre maison blanche douteuse, en vue d'organiser des éléctions presidentielles prévues pour décembre deux mille dix.

Nous avons besoin d'un changement radical depuis la Tête, pour que la fin d'haiti n'eclate pas. Mais il y a des hommes qui pensent : la saison cyclonique qui s'amène est la priorité actuelle, pour que notre santé assez vulnérable dans le sud et dans l'ouest ne soit pas déchirée par une autre catastrophe naturelle non prevue créée dans un laboratoire sans nom.

dimanche 7 mars 2010


le temps d'union mondiale



Les dégâts nous gratifient d’un visage qui ne s’accorde pas à notre mémoire. Nos données qui nous permettent de surveiller, de prévenir, d’accroitre notre vigilance par rapport aux prochains dangers s’amenuise. Certains changement se font hors des mains de l’homme et tout se décontrôle. Nous sommes spectateurs d’une révolte de la nature qui se concentre sur le fait que les dirigeants politiques se concentrent plus sur la prospérité de leur état que sur la contre-décadence du monde.


Mais ce n’est a personne de les juger, ce qu’ils font est en toute logique le pourquoi de leur rang censé être une position de lutte envers leur propre patrie seul, nous avons remarqué que chez des grands pays le peuple tire leur gouvernement vers l’intérieur lorsqu’il badine trop sur les relations internationales. L’erreur est ici toute faite. Nous sommes au temps ou nous ne pouvons vivre qu’en concertation mondiale. Les volontés d’un peuple quel qu’il soit ne peuvent être concrétisées que si nous influençons sur la marche mondiale des éléments.


Pétris à la une des journaux des dernières semaines par des catastrophes qu’’on dit’’ non-surprenantes le Chili en même temps que la France, Haïti, l’inévitable Japon et la glace enveloppant la flamme de la maison blanche, tout ces pays à l’échelle de leur richesse –profité, profitable et profitant- ce monde de profit que la nature n’épargne pas. Si en effet la relance de chaque pays touché doit se faire le plus localement possible, le long-terme est sur cette échelle de puissance établit depuis 1990.


Les États-Unis ne pourront pas affronter les chambardements du nouveau siècle seuls, Copenhague nous l’a prouvé, il reste a leur président de prouver ses projets de pacification. Le gouvernement mondial doit être au-dessus du partisenship. Mère nature nous force à l’union. L’organisation des nations unies est une unité stérile, il faut plus qu’une force de pacification qui agit là ou cela va mal mais qui le laisse mal parce qu’elle se plie sous l’autorité silencieuse mais évidente des grands, il faut un gouvernement mondial non-diplomate mais concret, plus grand que les grands en vue d’une armée censé aider pour que ca aille bien et barrer les phénomènes astrophysiques.

jeudi 4 mars 2010

le changement subtil




Ces jours-ci une panique tacite préoccupe les sentiments présents et futurs de chacun de nous. L’attention mondiale est plus que jamais fixée sur un ensemble de catastrophes qui semblent ravager d’un même coup ce monde qui n’est qu’en début d’année. Dit-on, le séisme presque maximale du Chili a changé l’axe temporel de notre planète. Nous perdons désormais du temps, ce qui nous est crucial quand on pense que plusieurs arguments déclament une fin proche.


Récemment, un glissement de terrain en Ouganda provoque la mort de cent hommes et de 400 disparus. Quelques jours avant une tempête faisait l’essor des instruments inutiles et des maisons non ancrés. La secousse du chili qui a suivi la boucherie d’Haïti fait peur, nous sommes à l’intérieur d’un film d’épouvante dont les dégâts ne sont provoqués ni par des dieux ni par des hommes. Cette nature qui au 21eme siècle remplace les totalitarismes concomitants du siècle dernier.


La fin enfin ne s’annonce pas par des catastrophes nucléaires. En s’alliant aux arguments spirituels et aux prévisions avant la lettre des mayas certains scientifiques s’appuient sur des faits atomiques, pour nous prévenir que par des alignements et des astéroïdes non à leurs places que dans deux ans ou seize ans plus tard nous pourrions disparaitre comme des poulets sur un barbecue. Qu’y faire ?

mardi 2 mars 2010

lundi 1 mars 2010

Bilan : vancouver 2010



Cet hiver influencé par des changements climatiques subtils a donné place à quelques lieus sur Vancouver à une atmosphère prête à accueillir plutôt les jeux olympiques d’été. Mais la glace n’a pas fondu, loin de la. Les responsables de ces jeux olympiques qui s’étaient promis de faire preuve de neiges vertes, ont a cause justement de ce dérèglement été forcés d’importer de la neige synthétisée. Cela montre tacitement que bientôt les indiens et les ours polaire ne trouveront plus de glace pour s’épanouir, mais on a eu droit à un spectacle plein d’étincelles.


Des cérémonies d’ouvertures et de clôtures très intimes aidés par les cris des indiens qui contraste avec la mégalomanie de Pékin qui nous manque quand même. Le Canada, pays développé en ces jeux a signé le record du pays le plus médaillé en or d’hiver. Ils nous ont gratifiés d’un match de hockey haut d’adrénaline sportive, parfait. Les cris « hard » des joueuses de curling n’ont malheureusement pas été assez forts. D’autres nations ont prouvés que leur développement économique rime avec leur qualité musculaire, tel que l’inévitable Etats-Unis, le plus médaillé dans tous les jeux. Nous avons aussi vu des haros respectant la grande tradition des olympiens comme un Simon Amman qui se dit petit comme sa médaille mais qui s’était mis dans toutes les dispositions mentales pour faire des sauts inoubliables. N’oublions pas quand même que le saut à ski féminin a été injustement interdit.