Le verbe prévaloir correspondra-t-il à l’image du président Préval dans le cadre de la reconstruction? On est en pleine période de germination des jeux de mots. Mais le charisme manque à notre chef d’état dont l’image a été sans résultat peinte en relief par un sénateur des Etats-Unis d’Amérique qui se désole de la situation. Les conseillers internationaux du président de la république offrent des sourires renversés à la pensée que le gouvernement haïtien est occupé par une équipe de vieux os paralysés en pleine période de mondiale !
Nous perdons a mesure du temps des grands hommes qui meurent de vieillesse en ayant vu leurs rêves décroître jusqu'à atteindre la déshérence actuelle : la preuve objective que les générations futures du pays n’ont pas de voix. Ce n’est pas la conscience qui manque, après la mise à terre de Jean Claude Duvalier par cette dite génération, celle d’Obama, de David Cameron, de Nicolas Sarkozy qui aujourd’hui prennent les rennes d’un monde dynamique.
Cette génération haïtienne s’est déchirée depuis plus de vingt-ans, refusant de s’équiper d’un leader présentable. Quand ils le font, ils obtiennent moins que 10% à des élections présidentielles. Tout haïtien en est conscient.
La loi hope exécuté par la main invisible de la politique qui installe des symboles de changement dans tous les pays se préoccupant de leur image, voulant sortir des Etats désossés et accéder peut-être à l’ile utopique de Thomas More.
Nous somme en pleine période d’incertitude écologique ! En attente de la repousse verte de schémas politiques planétaires nouveaux à l’écart des champignons nucléaires amenant sans cesse à des crises économiques ou pétrolières néfastes pour les plus grands. Ceux qui se réunissent au sommet du G8 où Haïti est invité et qui projettent de redorer l’ancienne perle.
Justement, le colonialisme n’est pas vieux jeu mais les opprimés sont plus éclairés. D’où l’origine de la résistance au Moyen-Orient, les médias refusent de changer de dialogue malgré le fiasco nucléaire en Irak dénoncé par Colin Powell. L’Iran est dans une lutte sale contre la communauté internationale, la chine est assez étouffée.
Il est temps d’union mondiale pratique. Nous avons des leaders complaisants qui agissent par test, faisant du tiers-monde un champ d’expérimentation comme dit le gouverneur général du Canada. La CIRH est entrainé par les besoins philanthropiques de Bill Clinton et sa cohorte d’investisseurs vers une nation qui demande d’être reconstruite sur les décombres de l’indépendance.
Le prochain président haïtien (un ancien premier ministre) va renouer plus fermement avec la cohabitation et faire partiellement fleurir Haïti avec l’argent de Metropolis si on évite le pire.
samedi 26 juin 2010
mercredi 23 juin 2010
Jacques Vilgrain
biographie de Jacques Vilgrain


Jacques Vilgrain, ingénieur civil, diplômé de l’Ecole Polytechnique d’Haïti, licencié en droit de la Faculté de Droit de Port-au-Prince, est également détenteur d’un «Certificate of Merit in Vital and Health Statistics», délivré par le «Public Health Office, USA», après des études au «School of Public Health, Université of Minneapolis, Minnesota, USA».
En outre, «Statisticien» diplômé de l’Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration Economique (E.N.S.A.E.) Section des Elèves-Administrateurs, INSEE, Paris, France, il a également obtenu un certificat d’Aptitude à l’emploi des Méthodes Statistiques de l’Institut de Statistique de l’Université de Paris (ISUP).
Parmi les principales fonctions qu’il a occupées, on doit retenir en particulier celles de Directeur du Service de la Population au Ministère de la Santé Publique et de la Population, de Directeur Général de l’Institut Haïtien de Statistique, de Conseiller Spécial au Ministère du Plan, de Conseiller au Ministère de l’Economie et des Finances, de Ministre de la Planification, de Gouverneur de la Banque Centrale.
Il a eu l’opportunité d’initier des recherches démographiques, dont l’estimation des caractéristiques de la population haïtienne et de nombreux travaux macro-économiques, en particulier, le développement systématique des Comptes Nationaux d’Haïti et l’élaboration de modèles économiques.
La plupart de ses travaux ont été publiés au Bulletin Trimestriel de l’Institut Haïtien de Statistique, à la revue «Economie et Développement» du Ministère de l’Economie et des Finances, dans les journaux du pays et dans des publications étrangères.
Membre de l’Institut Interaméricain de Statistique, de l’American Statistical Association, de l’Association des Statisticiens-Economistes des Anciens Elèves de l’ENSAE, de la Société de Statistique de Paris et de la Société de Statistique de France, et membre fondateur d’Intell Consult, M. Jacques Vilgrain est Officier de l’Ordre National du Travail et Chevalier des Palmes Académiques de France.
En outre, «Statisticien» diplômé de l’Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration Economique (E.N.S.A.E.) Section des Elèves-Administrateurs, INSEE, Paris, France, il a également obtenu un certificat d’Aptitude à l’emploi des Méthodes Statistiques de l’Institut de Statistique de l’Université de Paris (ISUP).
Parmi les principales fonctions qu’il a occupées, on doit retenir en particulier celles de Directeur du Service de la Population au Ministère de la Santé Publique et de la Population, de Directeur Général de l’Institut Haïtien de Statistique, de Conseiller Spécial au Ministère du Plan, de Conseiller au Ministère de l’Economie et des Finances, de Ministre de la Planification, de Gouverneur de la Banque Centrale.
Il a eu l’opportunité d’initier des recherches démographiques, dont l’estimation des caractéristiques de la population haïtienne et de nombreux travaux macro-économiques, en particulier, le développement systématique des Comptes Nationaux d’Haïti et l’élaboration de modèles économiques.
La plupart de ses travaux ont été publiés au Bulletin Trimestriel de l’Institut Haïtien de Statistique, à la revue «Economie et Développement» du Ministère de l’Economie et des Finances, dans les journaux du pays et dans des publications étrangères.
Membre de l’Institut Interaméricain de Statistique, de l’American Statistical Association, de l’Association des Statisticiens-Economistes des Anciens Elèves de l’ENSAE, de la Société de Statistique de Paris et de la Société de Statistique de France, et membre fondateur d’Intell Consult, M. Jacques Vilgrain est Officier de l’Ordre National du Travail et Chevalier des Palmes Académiques de France.
vendredi 18 juin 2010
La marée noire
Ils ont du creuser jusqu’à 1500 m de profondeur! Pour qu’une organisation pétrolière gigantesque puisse se frayer un chemin dans les réflexions des uns à propos des relations entre l’Etat et la mégalomanie de certains industriels se procurant de fortes bouffées de sommes placées dans les ordinateurs de Wall Street. Nous avons presque oublié que ce liquide visqueux qui prend petit à petit la place de toute l’eau vive du golfe du Mexique et des plages de la cote sud des Etats-Unis : est de l’or !
Deepwater Horizon a été le théâtre de la plus grande catastrophe naturelle des États-Unis depuis Katrina. Certains osent dire qu’il en est de même pour son président. Barack Obama a ainsi le destin étroitement lié avec celui de BP. On prédit une faillite mémorable, mais le leader noir n’est pas resté muet et a tant bien que mal réussi à jeter le blâme sur la compagnie pétrolière, là où il devrait être. Il est vrai que cela fait trois mois que la marée noire s’étend et qu’elle s’amplifiera parce qu’elle ne faisait pas partie de la politique planifié.
N’oublions pas que le droit facile a été donné à cette entreprise pour un forage sans exigence de sécurité stricte par les précédents gouvernements américains.
Deepwater Horizon a été le théâtre de la plus grande catastrophe naturelle des États-Unis depuis Katrina. Certains osent dire qu’il en est de même pour son président. Barack Obama a ainsi le destin étroitement lié avec celui de BP. On prédit une faillite mémorable, mais le leader noir n’est pas resté muet et a tant bien que mal réussi à jeter le blâme sur la compagnie pétrolière, là où il devrait être. Il est vrai que cela fait trois mois que la marée noire s’étend et qu’elle s’amplifiera parce qu’elle ne faisait pas partie de la politique planifié.
N’oublions pas que le droit facile a été donné à cette entreprise pour un forage sans exigence de sécurité stricte par les précédents gouvernements américains.
dimanche 6 juin 2010
Alice au pays des merveilles (Analyse)
Nous ne ferons pas une analyse de bon enfant. Alice au pays des merveilles est loin d’être le simple témoignage d’une petite fille révolté détruisant psychologiquement les règles parentales et didactiques. Le merveilleux s’installe dans un monde parallèle que le personnage principal du conte traverse dans une quête d’identité, tout au long de la trame elle se pose la question : « qui suis-je ? » dans ce pays à l’ envers où tout échappe aux règles radicales de la science et de la morale. On s’étonne que l’auteur de cette déraison fût un mathématicien réputé. C’est que Lewis Carroll a poussé son expérience cognitive jusqu’à tenter de comprendre l’irrationnel.
Nous sommes au 19e siècle en pleine période de romantisme britannique. Les nouveau-nés sont fatigues par un ensemble de contes portant une morale les aliénant de leur cadre naturel pour les transformés plus tôt que prévu avec la matière des leçons adultes. Alice, fille à laquelle ils se sont puissamment identifiés comme en atteste la popularité du livre écrit par Lewis Carroll. Ils s’identifient donc à une fille sans identité apparente cherchant à mener un combat : celui des artistes, féministes, opprimés de toutes sortes qui se sentent prisonniers d’un monde incompréhensible par les fous, ceux qui l’acceptent comme il est et n’idéalisent pas à propos d’un monde meilleure.
Alice est une anti-folle plongée dans la cité des merveilles ou des rejetés, ceux qui croient que la terre n’est pas plate. Elle a le don de voyance si bien traité par Arthur Rimbaud. L’histoire place une héroïne authentique au milieu d’une ville dont les habitants sont a la déprime, dans une interrogation importante qui va même banaliser leur langue, ils mènent une révolte impossible contre la reine qui les interdit d’avoir des moyens. Alice devient Zorro l’instant d’un rêve.
La pays des merveilles est loin d’être une utopie, c’est une liberté imaginaire, une transposition de la réalité à la Don Quichotte, une plongée dans l’inconscience qui permet de mieux comprendre sa propre réalité, celle que l’universel refuse de voir. En voici un extrait :
Quelle sorte de gens vais-je rencontrer en ces parages ?
- Dans cette direction-ci », répondit le chat en faisant un vague geste de la patte droite, « habite un chapelier ; et dans cette direction-là », ajouta-t-il en faisant le même geste de son autre patte, « habite un Lièvre de Mars. Vous pouvez, selon votre préférence, aller voir l'un ou l'autre : ils sont fous tous les deux.
- Mais je n'ai nulle envie d'aller chez les fous, fit remarquer Alice.
- Oh ! vous ne sauriez faire autrement, dit le Chat ; ici, tout le monde est fou. Je suis fou. Vous êtes folle.
- Comment savez-vous que je suis folle ? demanda Alice.
Il faut croire que vous l'êtes, répondit le Chat ; sinon, vous ne seriez pas venue ici. »
L’Ici représente l’espace ou l’ailleurs est inaccessible parce qu’on y est plongé. L’heure est bloquée à six heures du matin, le temps d’une séance de thé anarchique avec un chapelier et un lièvre de Mars, celle ou Perrette perd encore du lait.
Ce conte a depuis le 19e siècle subit diverses représentations dont celle de Walt Disney assez respectueuse du texte mais encore trop puéril et récemment celle de Tim Burton respectant le caractère dandy des personnages mais dénué de profondeur.
Nous sommes au 19e siècle en pleine période de romantisme britannique. Les nouveau-nés sont fatigues par un ensemble de contes portant une morale les aliénant de leur cadre naturel pour les transformés plus tôt que prévu avec la matière des leçons adultes. Alice, fille à laquelle ils se sont puissamment identifiés comme en atteste la popularité du livre écrit par Lewis Carroll. Ils s’identifient donc à une fille sans identité apparente cherchant à mener un combat : celui des artistes, féministes, opprimés de toutes sortes qui se sentent prisonniers d’un monde incompréhensible par les fous, ceux qui l’acceptent comme il est et n’idéalisent pas à propos d’un monde meilleure.
Alice est une anti-folle plongée dans la cité des merveilles ou des rejetés, ceux qui croient que la terre n’est pas plate. Elle a le don de voyance si bien traité par Arthur Rimbaud. L’histoire place une héroïne authentique au milieu d’une ville dont les habitants sont a la déprime, dans une interrogation importante qui va même banaliser leur langue, ils mènent une révolte impossible contre la reine qui les interdit d’avoir des moyens. Alice devient Zorro l’instant d’un rêve.
La pays des merveilles est loin d’être une utopie, c’est une liberté imaginaire, une transposition de la réalité à la Don Quichotte, une plongée dans l’inconscience qui permet de mieux comprendre sa propre réalité, celle que l’universel refuse de voir. En voici un extrait :
Quelle sorte de gens vais-je rencontrer en ces parages ?
- Dans cette direction-ci », répondit le chat en faisant un vague geste de la patte droite, « habite un chapelier ; et dans cette direction-là », ajouta-t-il en faisant le même geste de son autre patte, « habite un Lièvre de Mars. Vous pouvez, selon votre préférence, aller voir l'un ou l'autre : ils sont fous tous les deux.
- Mais je n'ai nulle envie d'aller chez les fous, fit remarquer Alice.
- Oh ! vous ne sauriez faire autrement, dit le Chat ; ici, tout le monde est fou. Je suis fou. Vous êtes folle.
- Comment savez-vous que je suis folle ? demanda Alice.
Il faut croire que vous l'êtes, répondit le Chat ; sinon, vous ne seriez pas venue ici. »
L’Ici représente l’espace ou l’ailleurs est inaccessible parce qu’on y est plongé. L’heure est bloquée à six heures du matin, le temps d’une séance de thé anarchique avec un chapelier et un lièvre de Mars, celle ou Perrette perd encore du lait.
Ce conte a depuis le 19e siècle subit diverses représentations dont celle de Walt Disney assez respectueuse du texte mais encore trop puéril et récemment celle de Tim Burton respectant le caractère dandy des personnages mais dénué de profondeur.
mercredi 2 juin 2010
Inglorious Basterds (Analyse)
Les mains stables de Quentin Tarantino répètent le mouvement horrifique et comique des scalps maintes fois coupés des cranes des nazis. Inglorious Basterds met le spectateur à l’encontre d’une expérience américaine nouvelle mêlant Far West spaghetti et la profondeur d’un film réaliste tentant de nous sensibiliser sur le tragique d’un événement !
Avec cette nouvelle œuvre d’art du réalisateur de Kill Bill, Influencé consciemment ou non par sa cinéphilie démente, la cinématographie prend plus d’espace en tant qu’art majeur permettant de modifier l’histoire et de redonner une fausse fierté à des bâtards d’avoir renverser le régime politique le plus meurtrier de l’histoire contemporaine. Et si tout cela n’était pas faux ?
Depuis que l’ambiance géographique des comportements nous a permis de traiter démocratiquement de ce que l’on veut au cinéma, l’holocauste est devenu un outil de facilité à travers le cinéma et les livres. Tarantino stimule nos langues dans l’espoir qu’on reprenne gout pour une recette tragi-historique que le public affectionne en mal de conscience. Le surmenage de la guerre nazi est si fort que certains croient à une propagande pour la pitié des juifs qui n’ont pas fini avec leur complot. Tarantino a eu le génie de ne pas tenter de prouver mais d’exprimer des sensations plausibles en nous montrant ce que le spectateur aimerait voir. Les hauts cadres du national-socialisme brulés dans un cinéma par l’imbroglio mêlant à la fois une femme vengeant sa famille et un noir dont elle est éprise, un groupe de résistant juif et américain et un chasseur de juifs traitre qui ramassera tout l’héroïsme de l’histoire.
Christoph Waltz dans la peau de Hans Landa, chasseur de juif SS a mérité son prix du meilleur acteur obtenu au festival de Cannes. Aux dires du cinéaste le film n’aurait pas existé sans cet acteur. Il a joué le rôle d’un commandant SS polyglotte et rusé qui a relevé le film dans les premières et les dernières scènes. Shosanna est malgré tout le personnage principal du film qui a échappé aux mains de Landa pour lui procurer sa gloire, juif qui a organisé la grande première dans laquelle participaient les hauts cadres nazis. Aldo Raine le chef des batards symbolise la cruauté juste, on se pose la question : tuer les faiseurs de chambre a gaz est-ce mal ? Qu’ils soient les seuls survivants de ce mauvais rêve réel, ils sont marqués au sang de la croix gammée sur leur front.
Avec cette nouvelle œuvre d’art du réalisateur de Kill Bill, Influencé consciemment ou non par sa cinéphilie démente, la cinématographie prend plus d’espace en tant qu’art majeur permettant de modifier l’histoire et de redonner une fausse fierté à des bâtards d’avoir renverser le régime politique le plus meurtrier de l’histoire contemporaine. Et si tout cela n’était pas faux ?
Depuis que l’ambiance géographique des comportements nous a permis de traiter démocratiquement de ce que l’on veut au cinéma, l’holocauste est devenu un outil de facilité à travers le cinéma et les livres. Tarantino stimule nos langues dans l’espoir qu’on reprenne gout pour une recette tragi-historique que le public affectionne en mal de conscience. Le surmenage de la guerre nazi est si fort que certains croient à une propagande pour la pitié des juifs qui n’ont pas fini avec leur complot. Tarantino a eu le génie de ne pas tenter de prouver mais d’exprimer des sensations plausibles en nous montrant ce que le spectateur aimerait voir. Les hauts cadres du national-socialisme brulés dans un cinéma par l’imbroglio mêlant à la fois une femme vengeant sa famille et un noir dont elle est éprise, un groupe de résistant juif et américain et un chasseur de juifs traitre qui ramassera tout l’héroïsme de l’histoire.
Christoph Waltz dans la peau de Hans Landa, chasseur de juif SS a mérité son prix du meilleur acteur obtenu au festival de Cannes. Aux dires du cinéaste le film n’aurait pas existé sans cet acteur. Il a joué le rôle d’un commandant SS polyglotte et rusé qui a relevé le film dans les premières et les dernières scènes. Shosanna est malgré tout le personnage principal du film qui a échappé aux mains de Landa pour lui procurer sa gloire, juif qui a organisé la grande première dans laquelle participaient les hauts cadres nazis. Aldo Raine le chef des batards symbolise la cruauté juste, on se pose la question : tuer les faiseurs de chambre a gaz est-ce mal ? Qu’ils soient les seuls survivants de ce mauvais rêve réel, ils sont marqués au sang de la croix gammée sur leur front.
dimanche 23 mai 2010
La sottise de Préval
Ces jours-ci, les dialogues autour des tables politiques à la radio ou dans les salons, dialogues souvent si abstraits qu'ils sont interdits aux peuples. Ces dialogues acclament haut et fort l'intelligence du président de la république comparé par effet de mode à Ti Malice personnage le plus "intelligent" des contes haïtiens dans lesquels il a de nombreuses fois profité de la naïveté et l'arriération trop prononcée d’un Bouki mis pour synonyme du peuple.
Le peuple haïtien n’est pas une canaille, Voltaire s’est si souvent trompé dans notre cas que ce peuple qui dit-on devrait peut-être avoir laissé successivement les français, les américains, les dictateurs démocratiquement élus, ce peuple refuse la stabilité. Ce peuple qui en faite cherche des solutions que les tutelles étrangères et la soi-disant élite haïtienne ne lui offre pas regarde encore le soleil malgré un tremblement de terre qui n’a pas su secoué leur hargne ancestral contre ceux qui les entretiennent dans la misère. Hélas ! Nous ne sommes pas encore libérés et Préval se veut le roi soleil.
La partie rouge de notre drapeau que certains intellectuels et présidents noiristes plus récemment anti-Gnbistes ont pris le temps de découdre pour approfondir une haine intérieur laissant place aux vautours libéralistes d’installer des Made In Haïti sans droits de douanes et les présidents qu’ils nous ont choisis qui font une erreur, une tache dans cette histoire haïtienne encore grandiose qui verra émergé un Patrice Lumumba haïtien qui ne sera pas assassiné.
L’union doit être concrète entre les différentes entités d’un peuple dans des conflits d’intérêts séculaires. L’une de ces deux parties agit effectivement comme des blancs et se laisse encore aliéné par une culture étrangère qui les laisse dans un semi-suicide silencieux. L’unité n’est pas une utopie avec un leader qui viendrait au moment des élections de novembre d’un poids si lourd qu’elles ne sauraient être frauduleuses. Qu’il soit une femme ou un membre de la chambre, il doit simplement être plus malin que les fausses malices.
Ne les parlez pas d’un plan Marshall, ou d’un programme de reconstruction par des industries étrangères, nous en avons beaucoup souffert, ce n’est pas d’aujourd’hui que nous recevons des fortes sommes de la communauté internationale, nous sommes sous aide depuis l’occupation. Avec un état fantôme nous ne bénéficierons que de corrupteurs. L’haïtien est trop habitue à la révolte, ils ne pourront pas… Il faut que quelque chose change ici a dit Jean Paul II.
Le peuple haïtien n’est pas une canaille, Voltaire s’est si souvent trompé dans notre cas que ce peuple qui dit-on devrait peut-être avoir laissé successivement les français, les américains, les dictateurs démocratiquement élus, ce peuple refuse la stabilité. Ce peuple qui en faite cherche des solutions que les tutelles étrangères et la soi-disant élite haïtienne ne lui offre pas regarde encore le soleil malgré un tremblement de terre qui n’a pas su secoué leur hargne ancestral contre ceux qui les entretiennent dans la misère. Hélas ! Nous ne sommes pas encore libérés et Préval se veut le roi soleil.
La partie rouge de notre drapeau que certains intellectuels et présidents noiristes plus récemment anti-Gnbistes ont pris le temps de découdre pour approfondir une haine intérieur laissant place aux vautours libéralistes d’installer des Made In Haïti sans droits de douanes et les présidents qu’ils nous ont choisis qui font une erreur, une tache dans cette histoire haïtienne encore grandiose qui verra émergé un Patrice Lumumba haïtien qui ne sera pas assassiné.
L’union doit être concrète entre les différentes entités d’un peuple dans des conflits d’intérêts séculaires. L’une de ces deux parties agit effectivement comme des blancs et se laisse encore aliéné par une culture étrangère qui les laisse dans un semi-suicide silencieux. L’unité n’est pas une utopie avec un leader qui viendrait au moment des élections de novembre d’un poids si lourd qu’elles ne sauraient être frauduleuses. Qu’il soit une femme ou un membre de la chambre, il doit simplement être plus malin que les fausses malices.
Ne les parlez pas d’un plan Marshall, ou d’un programme de reconstruction par des industries étrangères, nous en avons beaucoup souffert, ce n’est pas d’aujourd’hui que nous recevons des fortes sommes de la communauté internationale, nous sommes sous aide depuis l’occupation. Avec un état fantôme nous ne bénéficierons que de corrupteurs. L’haïtien est trop habitue à la révolte, ils ne pourront pas… Il faut que quelque chose change ici a dit Jean Paul II.
mercredi 19 mai 2010
Nu au plateau de sculpteur
Nu au plateau de sculpteur a récemment encaissé le titre d’œuvre d’art la plus chère vendue de tout temps. Christie’s a emboîté le pas à l’homme qui marche de Sotheby’s, sculpture minimaliste qui s’est contentée de représenter l’homme dans sa maladie de la vie, mais cet homme qui marche quelque soit la désintégration à laquelle il fait face. Hommage à Giacometti !
Ceux qui achètent aux enchères sont passés d’une envie de retrouver leur qualité essentielle d’homme à se perdre dans les seins libres d’une femme, la maîtresse principale de Picasso vendue à 106,4 millions d’euros. Les riches sont en crise d’art !
Ce tableau élément exemplaire du cubisme présente Marie Thérèse Walter couchée à terre, les jambes croisées laissant percée la ligne du pubis dans son air natal. Les seins ne s’imposent pas comme ceux d’Eugène Delacroix mais sont plutôt placés dans des positions inverses. Les yeux sont fermés, ce qui sous-entend un orgasme solitaire.
Le buste sur le plateau du sculpteur est la déification de la femme mais femme abandonnée que l’on veut au sommet des relations internationales. Mais femmes réveillez vous !
La sélection haïtienne féminine de football est championne des caraïbes mais tout est passé inaperçu.
Ceux qui achètent aux enchères sont passés d’une envie de retrouver leur qualité essentielle d’homme à se perdre dans les seins libres d’une femme, la maîtresse principale de Picasso vendue à 106,4 millions d’euros. Les riches sont en crise d’art !
Ce tableau élément exemplaire du cubisme présente Marie Thérèse Walter couchée à terre, les jambes croisées laissant percée la ligne du pubis dans son air natal. Les seins ne s’imposent pas comme ceux d’Eugène Delacroix mais sont plutôt placés dans des positions inverses. Les yeux sont fermés, ce qui sous-entend un orgasme solitaire.
Le buste sur le plateau du sculpteur est la déification de la femme mais femme abandonnée que l’on veut au sommet des relations internationales. Mais femmes réveillez vous !
La sélection haïtienne féminine de football est championne des caraïbes mais tout est passé inaperçu.
jeudi 6 mai 2010
La mort d'Ulysse.
Ulysse n’est pas en règle avec la mer!
Selon les mots de Roody Edme, dans son billet sur la nouvelle utopie de l’Europe, La Grèce serait aujourd’hui dans un bateau piégé au sommet de l’iceberg comme le dit le vice-président de la banque centrale chinoise. C'est-à-dire qu’Ulysse sur le chemin du retour doit coopérer avec l’Europe pour ne pas périr parce qu’ils ont oublié leur source.
L’Europe a oublié ce qui fait de lui ce modèle d’unité exemplaire qui lui a permis de surmonter plus facilement de nombreux défis dont la grande crise économique de 2008. Si la Grèce meurt, elle emportera dans son sillon toute l’organisation rêvée d’un monde ou l’ordre des coéquipiers puisse exister.
Imaginons un échec de la relance grec de façon immédiate et que la péninsule ibérique soit plongé dans cette même mer des crises de l’ultralibéralisme qui ravagent le monde dit-on de façon cyclique. Si l’Espagne et le Portugal suivent la Grèce sous la mer, la balance de l’Europe sera dévissé sous le poids trop lourd de dettes publiques plongeant le continent des riches dans un malaise qui suggérait une annulation claire de l’utopie européenne.
Pourquoi pensons-nous à une utopie ? S’il est vrai que l’idée d’une équipe économique infaillible n’est plus d’actualité. L’idée d’une Europe ou chacun réussirait ensemble en dépassant les deux pôles qui s’imposent est réalisable. Demain, l’Espagne ne compte pas céder à la pression des vents de l’histoire. L’Europe ne doit pas avoir l’attitude aveugle du chêne ou de la grenouille et éviter un orgeuille ou un égoïsme excessif qui amènerait à l’éclatement d’une entité dont le monde a besoin. Pour cela, il faut qu’Angela Merkel se préoccupe de changer la façon de voir de son peuple.
Le tourisme grec est au contraire de l’apogée. Papandreou fait place à de grandes difficultés internes, le peuple grec refuse d’être cynique. Ils doivent à la fois redevenir crédibles et résister à un plan d’austérité imposé par les plus responsables. La crise grec ne facilitera pas l’entré de la Turquie. La nouvelle Grèce doit laver la honte d’avoir été un passager clandestin.
Selon les mots de Roody Edme, dans son billet sur la nouvelle utopie de l’Europe, La Grèce serait aujourd’hui dans un bateau piégé au sommet de l’iceberg comme le dit le vice-président de la banque centrale chinoise. C'est-à-dire qu’Ulysse sur le chemin du retour doit coopérer avec l’Europe pour ne pas périr parce qu’ils ont oublié leur source.
L’Europe a oublié ce qui fait de lui ce modèle d’unité exemplaire qui lui a permis de surmonter plus facilement de nombreux défis dont la grande crise économique de 2008. Si la Grèce meurt, elle emportera dans son sillon toute l’organisation rêvée d’un monde ou l’ordre des coéquipiers puisse exister.
Imaginons un échec de la relance grec de façon immédiate et que la péninsule ibérique soit plongé dans cette même mer des crises de l’ultralibéralisme qui ravagent le monde dit-on de façon cyclique. Si l’Espagne et le Portugal suivent la Grèce sous la mer, la balance de l’Europe sera dévissé sous le poids trop lourd de dettes publiques plongeant le continent des riches dans un malaise qui suggérait une annulation claire de l’utopie européenne.
Pourquoi pensons-nous à une utopie ? S’il est vrai que l’idée d’une équipe économique infaillible n’est plus d’actualité. L’idée d’une Europe ou chacun réussirait ensemble en dépassant les deux pôles qui s’imposent est réalisable. Demain, l’Espagne ne compte pas céder à la pression des vents de l’histoire. L’Europe ne doit pas avoir l’attitude aveugle du chêne ou de la grenouille et éviter un orgeuille ou un égoïsme excessif qui amènerait à l’éclatement d’une entité dont le monde a besoin. Pour cela, il faut qu’Angela Merkel se préoccupe de changer la façon de voir de son peuple.
Le tourisme grec est au contraire de l’apogée. Papandreou fait place à de grandes difficultés internes, le peuple grec refuse d’être cynique. Ils doivent à la fois redevenir crédibles et résister à un plan d’austérité imposé par les plus responsables. La crise grec ne facilitera pas l’entré de la Turquie. La nouvelle Grèce doit laver la honte d’avoir été un passager clandestin.
mercredi 28 avril 2010
La loi "Accolade"
Tout cela était prévu. A spéculer sur les troupes surnuméraires qui ont débarqués dans les restaurants de Port-au-Prince. La cuisine des chefs d’états étrangers visitant de façon ritournelle les tentes faites de draps et de morceaux de pacotille nous préparait silencieusement cette recette.
Cette loi est comme l’accolade d’un renard prenant soin de toucher la poche arrière de sa prochaine victime pour savoir quel package s’obtient avec la tendresse d’une bourse pleine d’haïtiens.
Nous n’étions pas dupes. Nous avons vu un drapeau plein d’étoiles érigé sur notre aéroport international qui sera bientôt privé. Nous avions su que les prochaines élections se feraient par le filtre de trucages non nationaux. Mais ceci seront à la vu de tous, ils ne seront pas une simple affaire de chiffre à la manière haïtienne mais affaire de politique visible, de prochain président populaire voté par on ne sait qui encore et qui passera le premier tour sans question de respecter une loi.
L’haïtien n’est pas dupe. D’où les manifestations prochainement magistrales qui se propagent tel un cancer dans les différentes provinces d’un pays qui n’a pas souffert du séisme dans sa totalité.
Ce qui est sur, c’est que nous ne voterons plus l’espoir mais la désillusion concrète du pays de la négritude mise sous tutelle officieuse depuis Duvalier. Tout était déjà planifié depuis le numéro 1. Il ne reste qu’à penser à une gouvernance aux antipodes de Sténio Vincent. Préval n’est pas immortel.
Cette loi est comme l’accolade d’un renard prenant soin de toucher la poche arrière de sa prochaine victime pour savoir quel package s’obtient avec la tendresse d’une bourse pleine d’haïtiens.
Nous n’étions pas dupes. Nous avons vu un drapeau plein d’étoiles érigé sur notre aéroport international qui sera bientôt privé. Nous avions su que les prochaines élections se feraient par le filtre de trucages non nationaux. Mais ceci seront à la vu de tous, ils ne seront pas une simple affaire de chiffre à la manière haïtienne mais affaire de politique visible, de prochain président populaire voté par on ne sait qui encore et qui passera le premier tour sans question de respecter une loi.
L’haïtien n’est pas dupe. D’où les manifestations prochainement magistrales qui se propagent tel un cancer dans les différentes provinces d’un pays qui n’a pas souffert du séisme dans sa totalité.
Ce qui est sur, c’est que nous ne voterons plus l’espoir mais la désillusion concrète du pays de la négritude mise sous tutelle officieuse depuis Duvalier. Tout était déjà planifié depuis le numéro 1. Il ne reste qu’à penser à une gouvernance aux antipodes de Sténio Vincent. Préval n’est pas immortel.
samedi 24 avril 2010
Le pape libéré!
Benoit XVI semble avoir les mains enchainés avec la pléiade de scandales qui entourent le requestionnement des fondements de l'église. L'église catholique affiche tout le contraire de ses préceptes. Après une visite sur le continent des syncrétismes et des religions infinis, il a sué à cause d’une parole irréfléchi qu’il a du excusé peu après. La question du condom s’enchaine aujourd’hui sur le sexe des pédophiles.
Le prêtre pédophile après tant d’années protégé par les lois silencieuses et invisibles a maintenant l’opportunité d’effectuer des prières inutiles. Les victimes sont devenus matures et ont acquis une conscience : ils ont l’occasion de briser le mur de la peur, cette peur de Dieu décrite par Epicure.
Après avoir suivi le nom de la rose et un très détaillé documentaire d’Euronews, on est consterné par le constat du retour vers le passé du nouveau pape, on a la nostalgie de Jean Paul II. Le pape soleil nous a éclairés sur un monde ou l’unité religieuse serait possible. Benoit XVI a ouvertement accusé Mahomet de n’avoir pas fait suivre la bonne route à ses fideles. L’église catholique n’est plus à ses moments de lune.
Le prêtre pédophile après tant d’années protégé par les lois silencieuses et invisibles a maintenant l’opportunité d’effectuer des prières inutiles. Les victimes sont devenus matures et ont acquis une conscience : ils ont l’occasion de briser le mur de la peur, cette peur de Dieu décrite par Epicure.
Après avoir suivi le nom de la rose et un très détaillé documentaire d’Euronews, on est consterné par le constat du retour vers le passé du nouveau pape, on a la nostalgie de Jean Paul II. Le pape soleil nous a éclairés sur un monde ou l’unité religieuse serait possible. Benoit XVI a ouvertement accusé Mahomet de n’avoir pas fait suivre la bonne route à ses fideles. L’église catholique n’est plus à ses moments de lune.
samedi 10 avril 2010
START, entre sel et sucre
D'un accord de réduction des armes nucléaires il est à faire entre les grandes puissances. Barack Obama veut montrer à l’universel qu’il vaut son prix Nobel et qu’il luttera coute que coute envers ses promesses les plus farfelues. La Russie veut aussi mettre la main a la patte du model idéaliste du président noir pour faire partie du mouvement des pays qui enfin redorent leur image à la face d’une population mondiale éclairée cinématographiquement sur la cuisine de ces gouvernements qui dirigent le monde par jeu de qui sera le moins transparent. Et encore, cet accord n’est qu’un leurre.
Au moment même, ou Medvedev et Obama se réunissent pour signer cet accord à Prague, un coup d’état énigmatique s’effectue au Kirghizstan. START, ne date pas d’aujourd’hui, nous sommes même à la quatrième version d’un pacte qui a commencé avec le SALT. Mais aucun d’eux n’a donné de résultats, tous ont été abandonnés. Le fait que les premières signatures étaient faites par Georges W. Bush fait espérer qu’avec le changement d’aigle, il y aura peut-être une réduction d’armes nucléaires.
Mais, comment baisser notre défense quand l’Iran et l’Israël menacent de déployer Hiroshima ? S’il est vrai que l’Amérique a décidé de ne plus installer de nouvelles machines anti-missiles contre une offensive probable de la Russie, et aussi vrai que l’afro-américain exposera des destructions d’armes à hydrogène en mer et sur terre. La dynamique des missiles extra-atmosphériques n’a pas encore été définie.
L’administration Obama va nous surprendre avec le vote positif des républicains sur ce dossier car ils ont de nouvelles astuces très fonctionnelles.
Au moment même, ou Medvedev et Obama se réunissent pour signer cet accord à Prague, un coup d’état énigmatique s’effectue au Kirghizstan. START, ne date pas d’aujourd’hui, nous sommes même à la quatrième version d’un pacte qui a commencé avec le SALT. Mais aucun d’eux n’a donné de résultats, tous ont été abandonnés. Le fait que les premières signatures étaient faites par Georges W. Bush fait espérer qu’avec le changement d’aigle, il y aura peut-être une réduction d’armes nucléaires.
Mais, comment baisser notre défense quand l’Iran et l’Israël menacent de déployer Hiroshima ? S’il est vrai que l’Amérique a décidé de ne plus installer de nouvelles machines anti-missiles contre une offensive probable de la Russie, et aussi vrai que l’afro-américain exposera des destructions d’armes à hydrogène en mer et sur terre. La dynamique des missiles extra-atmosphériques n’a pas encore été définie.
L’administration Obama va nous surprendre avec le vote positif des républicains sur ce dossier car ils ont de nouvelles astuces très fonctionnelles.
mercredi 7 avril 2010
l'ecole obligatoire est un fantome
Dans la plupart des pays sous développés, l’école est obligatoire. En Haïti aussi. Pourtant, plus de la moitié de la population est analphabète, près de 70% ont une alphabétisation pauvre, incapables de lire le titre d’un journal en moins de plusieurs minutes.
C’est ainsi dans tous les pays qui ne possèdent pas les moyens volontaires de passer d’une loi à l’acte, d’une constitution à un Etat. A quoi sert donc la constitution dans un pays qui répond aux volontés égoïste d’un leader qui n’a pas pacté seulement avec le diable mais avec l’ensemble des nouvelles entités dirigeantes qui se cachent derrière l’apolitique.
Tout est bientôt fantôme. Mais pas en Inde ou l’école obligatoire qui vient d’être instituée construit de l’espoir, celui de l’un des plus forts pays émergeants accédant à la scolarisation et la possibilité de devenir un territoire d’intellectuels spirituels. Paradoxalement, dans les pays dit grands, il y a une régression de la scolarisation, les parents n’aimant pas le climat violent s’établissant dans les bâtiments scolaires ils préfèrent les garder chez eux. Les statistiques montrent que défiant tout pronostic les jeunes éduqués à la maison sont beaucoup plus matures et que Harvard a un penchant spécial pour leur capacité à la réflexion personnelle.
Que ferait donc un pays sous développé qui ne peut pas planifier l’éducation à la maison, alors que c’est statistiquement le meilleur des choix dans le cartel anglophone (Etats-Unis, Angleterre). Aller vers une école qui permettrait de réfléchir par soi-même, ce qui est un exemple brillant de démocratie et de laisser parler les jeunes qui ne serait malheureusement pas mis en application par un Etat qui ne se soucie pas de son avenir.
Dans le système haïtien, les livres à l’initiative des frères de l’instruction chrétienne enveloppe nos mentalités depuis des décennies et n’offrent pas de moyens de débattre, de frapper des idées entre elles ce qui est pourtant la condition nécessaire pour l’innovation et la possibilité de palper des idées nouvelles. Le débat qui n’est que disponible a l’université fait que toute chaleur se concentre dans des révoltes le plus souvent inutiles. Pour les refroidir il faut élargir le cadre spatio-temporel de la pensée.
C’est ainsi dans tous les pays qui ne possèdent pas les moyens volontaires de passer d’une loi à l’acte, d’une constitution à un Etat. A quoi sert donc la constitution dans un pays qui répond aux volontés égoïste d’un leader qui n’a pas pacté seulement avec le diable mais avec l’ensemble des nouvelles entités dirigeantes qui se cachent derrière l’apolitique.
Tout est bientôt fantôme. Mais pas en Inde ou l’école obligatoire qui vient d’être instituée construit de l’espoir, celui de l’un des plus forts pays émergeants accédant à la scolarisation et la possibilité de devenir un territoire d’intellectuels spirituels. Paradoxalement, dans les pays dit grands, il y a une régression de la scolarisation, les parents n’aimant pas le climat violent s’établissant dans les bâtiments scolaires ils préfèrent les garder chez eux. Les statistiques montrent que défiant tout pronostic les jeunes éduqués à la maison sont beaucoup plus matures et que Harvard a un penchant spécial pour leur capacité à la réflexion personnelle.
Que ferait donc un pays sous développé qui ne peut pas planifier l’éducation à la maison, alors que c’est statistiquement le meilleur des choix dans le cartel anglophone (Etats-Unis, Angleterre). Aller vers une école qui permettrait de réfléchir par soi-même, ce qui est un exemple brillant de démocratie et de laisser parler les jeunes qui ne serait malheureusement pas mis en application par un Etat qui ne se soucie pas de son avenir.
Dans le système haïtien, les livres à l’initiative des frères de l’instruction chrétienne enveloppe nos mentalités depuis des décennies et n’offrent pas de moyens de débattre, de frapper des idées entre elles ce qui est pourtant la condition nécessaire pour l’innovation et la possibilité de palper des idées nouvelles. Le débat qui n’est que disponible a l’université fait que toute chaleur se concentre dans des révoltes le plus souvent inutiles. Pour les refroidir il faut élargir le cadre spatio-temporel de la pensée.
Sous la terre des ancetres
Un adolescent au dit de sa mère a transpercé les cotes de Terre Blanche avec une machette. Pour tuer un homme ne voulant pas répondre à ses requêtes ouvrières. Le salaire du jeune homme et de son ami ont été payés par la mort de ce raciste de longue date voulant rétablir l’apartheid en Afrique. L’Afrique du Sud fait peur au moment d’accueillir la coupe du monde de football cet été.
Le parti politique que Terre Blanche a formé menace de fortement troubler la fête en plein soleil. Ils accusent l’un des leaders du parti au pouvoir d’avoir perpétré indirectement l’acte en relançant une musique anti fermier blanc du temps de l’apartheid dans les rangs des noirs. Tout ceci montre que les clivages raciaux sont encore forts en Afrique et que cette coupe du monde sera utile.
Le travail de Nelson Mandela ne peut être vain et l’Afrique du sud malgré toutes ses viscères non encore réhabilitées sont un model d’unité raciale à travers la planète. Ils ne doivent surtout pas trébucher à quelques mois de ce qui pourrait être leur sacre !
Le parti politique que Terre Blanche a formé menace de fortement troubler la fête en plein soleil. Ils accusent l’un des leaders du parti au pouvoir d’avoir perpétré indirectement l’acte en relançant une musique anti fermier blanc du temps de l’apartheid dans les rangs des noirs. Tout ceci montre que les clivages raciaux sont encore forts en Afrique et que cette coupe du monde sera utile.
Le travail de Nelson Mandela ne peut être vain et l’Afrique du sud malgré toutes ses viscères non encore réhabilitées sont un model d’unité raciale à travers la planète. Ils ne doivent surtout pas trébucher à quelques mois de ce qui pourrait être leur sacre !
lundi 5 avril 2010
Burqa et sécurité
La burqa est actuellement considérée en France en tant qu’élément dangereux, arme sous couverture religieuse qui permettrait aux terroristes d’agir, hommes ou femmes, cachés sous un habit qui cache toute l’identité du porteur. Nous avons même vus des stars hollywoodiennes s’en couvrir contre l’invasion des paparazzis. Arrêté à ce point le débat a tout son sens mais il faudra le garnir de préceptes moraux et de tolérance face a l’immigrateur.
Un extrémiste islamiste sachant qu’on fait un tel affront a sa conception du monde, n’hésiterait pas à calibrer ses armes pour une belle réussite de djihad. Déjà qu’il s’est tu a l’interdiction des minarets en Suisse. Mais est-ce que la burqa est dangereuse en soi ?
De tous temps les pays bien organisés se sont arranger pour contrer des hommes en cagoule ou de gigantesques mascarades et carnavales, la burqa n’est pas un nouveau défi. A couvert ou non, le terroriste ne fait que cacher sa bombe sous n’importe quel type d’habit, les kamikazes du World Trade Center n’avaient aucune burqa. Elle est considérée comme une arme par l’ennemi mais pas par son détenteur.
Elle est peut être horrible, mais si cette loi passe les français devront affronter le visage humilié de parents musulmans passant chercher leur progéniture à l’école. Il faudra aussi interdire tout masque porté par loisir. Le débat sur la dignité de la femme est encore plus vaste, la femme musulmane est en accord avec la charia. Le débat sur la burqa est en effet sous l’artifice habituel, un débat sur l’immigration.
Un extrémiste islamiste sachant qu’on fait un tel affront a sa conception du monde, n’hésiterait pas à calibrer ses armes pour une belle réussite de djihad. Déjà qu’il s’est tu a l’interdiction des minarets en Suisse. Mais est-ce que la burqa est dangereuse en soi ?
De tous temps les pays bien organisés se sont arranger pour contrer des hommes en cagoule ou de gigantesques mascarades et carnavales, la burqa n’est pas un nouveau défi. A couvert ou non, le terroriste ne fait que cacher sa bombe sous n’importe quel type d’habit, les kamikazes du World Trade Center n’avaient aucune burqa. Elle est considérée comme une arme par l’ennemi mais pas par son détenteur.
Elle est peut être horrible, mais si cette loi passe les français devront affronter le visage humilié de parents musulmans passant chercher leur progéniture à l’école. Il faudra aussi interdire tout masque porté par loisir. Le débat sur la dignité de la femme est encore plus vaste, la femme musulmane est en accord avec la charia. Le débat sur la burqa est en effet sous l’artifice habituel, un débat sur l’immigration.
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